top of page


L’implication physique fait œuvre dans le travail de Madely Schott.

Si l’on ne peut la définir à travers un médium artistique spécifique, il apparaît clairement dans ses propositions un caractère de résilience et un désir d’émancipation des règles aux- quelles nous assigne la société avec l’espoir de trouver un état du vivant singulier et puissant.

Sa démarche proche de l’ontologie nous compte l’émotion humaine, transgresse la mort pour rechercher en chacun sa puissance mythologique et son possible divin.
Elle oscille librement entre la performance, la vidéo, le dessin et l’installation, toujours au service de l’histoire à raconter. La narration est une part importante de son processus.
Aujourd'hui elle met en avant la pratique artisanale du textile, comme processus performatif de création, un temps suspendu d'où surviendront des corps protecteurs, des corps satiriques, comme une autre vérité narrative de notre société.  
Elle s’inspire de l’observation du quotidien pour le réinventer et le réenchanter dans un ailleurs fantasmagorique.
Recherchant des processus de création à travers l’expérience du groupe comme enjeu fondamental de l’utopie collective, Madely Schott a multiplié les rencontres artistiques avant de rencontrer Phabrice Petitdemange et de constituer le collectif VOOGT.
Entre 2014 et 2015, elle rejoint l’écrivain, poète sonore et essayiste belge Antoine Boute autour du projet Opération Perte Totale. Ils organiseront ensemble les Soirées du salon du sang neuf aux Ateliers Claus à Bruxelles.
En 2011, elle co-fonde avec le performeur/scénographe belge Boris Dambly le collectif RE:c avec lequel elle proposera des performances à l’international jusqu’en 2016.

bottom of page